Vincent Courtillot, le directeur de l'Institut de physique du globe de Paris jette le masque. Alors qu'il prétendait jouer le rôle du climato-sceptique "tempéré", par opposition à un Claude Allègre trop tonitruant, il déclare - dans un portrait publié hier par Libération et réalisé par mon collègue Edouard Launet - «son livre [l’Imposture climatique, ndlr] ne me paraît contenir que des choses exactes.»
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